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Andreas und Daniel teilen nicht nur eine lebenslange Freundschaft, sondern auch ihre Ausbildung zum Automechaniker in der pittoresken Garage von Herisau. Doch während Andreas in der Welt der Motoren aufblüht, fühlt sich Daniel in seiner Ausbildung gefangen. Sein wahrer Traum ist es, als Influencer die Welt zu erobern. Um spektakulären Content für seine Follower zu kreieren, lässt er sich von Andreas bei waghalsigen Stunts filmen.

Doch in ihrem Streben nach dem nächsten aufregenden Moment verlieren die beiden Freunde den Bezug zur Realität. Auf der Jagd nach dem ultimativen « Thrill » stürzen sie sich in gefährliche Situationen und verfallen immer mehr dem Sog von Drogen. Die Grenze zwischen ihrem eigenen Leben und den inszenierten Abenteuern verschwimmt zusehends.

Inmitten des Rauschs und der sich überschlagenden Ereignisse kommt es zu einem tragischen Zwischenfall, der nicht nur ihre Freundschaft auf die Probe stellt, sondern auch ihr gesamtes Leben auf den Kopf stellt. Während die beiden nach Antworten suchen, erkennen sie, dass ihre Suche nach Extremen nicht nur ihren emotionalen, sondern auch ihren physischen Zustand auf eine harte Probe gestellt hat. Eine Geschichte über Freundschaft, Selbstfindung und die gefährlichen Abgründe, die sich auftun, wenn man die Realität aus den Augen verliert.

Si seulement je pouvais hiberner

Si seulement je pouvais hiberner

Lauréat du prix du public au Festival du film Diritti Umani Lugano

Loin de tout romantisme de voyage, la réalisatrice mongole Zoljargal Purevdash raconte avec beaucoup d’humour et d’espoir l’histoire d’un adolescent talentueux qui doit assumer la responsabilité de sa famille.

Ulzii, un adolescent sans ressources mais très doué et fier de l’être, vit avec sa famille dans le quartier des yourtes d’Ulaanbaatar. Il peut prouver son talent scolaire exceptionnel lors d’un concours de physique, ce qui signifie une bourse et une perspective d’avenir. Mais il doit d’abord faire traverser l’hiver glacial à ses frères et sœurs et accepter pour cela un travail risqué.

La réalisatrice mongole Zoljargal Purevdash raconte avec un regard sans concession l’histoire du coming-of-age d’un adolescent pragmatique, loin de tout romantisme, dans le froid impitoyable de la Mongolie, tout en trouvant humour et chaleur dans le quotidien de la famille.

Ce récit lui a assuré une place au Festival de Cannes de cette année, en tant que premier film mongol de l’histoire du festival.

« Une première œuvre pleine d’assurance » Screendaily

« SI SEULEMENT JE POUVAIS HIBERNER met en lumière non seulement le fossé entre la ville et la campagne, mais aussi les disparités socio-économiques au sein de la métropole » View of the Arts

« Honnête et touchant » View of the Arts

« SI SEULEMENT JE POUVAIS HIBERNER est un drame social sans détour avec une référence locale, un rayonnement universel et beaucoup de cœur » View of the Arts

« Une histoire captivante de coming-of-age sur les privations et l’ambition » A Good Movie to Watch

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Mandach Naran

La Sirène

La Sirène

Un regard sur le siège d’Abadan en 1980 à travers le pouvoir d’abstraction et de guérison de l’animation.

1980, Abadan. La capitale de l’industrie pétrolière iranienne résiste à un siège irakien. Omid, quatorze ans, a bravé le siège et est resté dans la ville avec son grand-père en attendant le retour de son frère aîné du front. Avec Omid, toute une série de personnalités extraordinaires sont restées dans la ville, chacune avec ses propres raisons et résistant à sa manière. Mais l’étau se resserre lorsqu’Omid tente de sauver ses nouvelles connaissances à l’aide d’un bateau abandonné qu’il trouve dans le port et qui devient son arche.

Sepideh Farsi a utilisé le pouvoir d’abstraction et de guérison de l’animation pour créer un conte d’aventures débordant d’optimisme, qui place les femmes et les marginaux sociaux comme acteurs silencieux d’une guerre qui avait déjà commencé avant les attaques irakiennes avec la révolution islamique en Iran.

Golden Seniors

Golden Seniors

Cinq seniors se lancent dans l’inconnu. Pendant 18 mois, ils vont participer à un entrainement basé sur la pleine conscience et l’altruisme mesuré aux fins d’une étude scientifique sur le vieillissement. Le film raconte leur parcours intime et émotionnel et le met en miroir avec l’objectivation de la science et les défis du bien vieillir dans notre société. Vivre plus longtemps, oui mais comment?

Au-delà de l’aventure de ces seniors, le film montre la méditation comme une manière de se relier à soi-même et au monde qui nous entoure. Il révèle la réalité de ce cheminement avec ses écueils, ses moments de doute, de gratitude, de joie et parfois de libération.

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CHUV Lausanne | CNP Neuchâtel | Ensemble Hospitalier de la Côte | HÔPITAUX UNIVERSITAIRES GENÈVE | Mindfulness Swiss | Pro Senectute Schweiz | UNIVERSITÉ DE GENÈVE |

Plan 75

Plan 75

Dans un futur proche, le programme du gouvernement japonais «Plan 75» encourage les personnes âgées à mourir volontairement afin de lutter contre le vieillissement de la société. Une femme âgée qui ne peut plus vivre de manière indépendante, un vendeur pragmatique du «Plan 75» et une jeune aide-soignante philippine sont confrontés à une décision entre vie et mort.

PLAN 75 de Chie Hayakawa est une histoire merveilleusement humaniste qui utilise de manière ingénieuse la crise du vieillissement du Japon comme modèle pour un récit dystopique. Mais PLAN 75 n’est pas seulement sombre. En accompagnant Michiko, Maria et Hiromu dans leur parcours, la réalisatrice Hayakawa célèbre la vie et tous ses petits bonheurs quotidiens. Au cœur de ce triptyque d’histoires se trouve Michiko, incarnée par l’impressionnante Chieko Baisho, une personne âgée indépendante qui se tourne vers «Plan 75» en dernier recours.

 PLAN 75 reçoit les trois prix les plus importants au Festival du Film International de Fribourg : Grand Prix, the Critics’ Choice Award et Comundo Youth Jury Award 

Jury Statement

Our big partner: GINMAKU FILM FESTIVAL ZURICH

Big Little Women

Big Little Women

Comment parler avec tendresse des luttes féministes à un patriarche éclairé ? La réalisatrice helvético-égyptienne Nadia Fares mêle la chronique personnelle du féminisme en Égypte à un hommage à son père bien-aimé.
Elle dresse le portrait de trois générations de femmes qui se battent pour leurs droits, mais dont les progrès sont souvent suivis de revers décourageants et de résignation. En même temps, elle montre comment l’histoire des luttes des femmes est liée aux changements politiques et sociaux de toute la nation.

Dans cette lettre filmée, la réalisatrice helvético-égyptienne Nadia Fares rend hommage à son père et raconte de manière personnelle 75 ans de lutte des femmes en Égypte, le pays de son père, et en Suisse, le pays de sa mère. Ce faisant, elle explore les effets des traditions patriarcales en Orient et en Occident et les révèle comme des reflets.

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RECIF | Tea Room (Fribourg) | Gender Campus | Mampreneures (association suisse des mamans entrepreneurs) | Association suisse pour le droit de la femme | EPFelles | OSAR (Organisation Suisse d’Aide aux réfugiers) | ParMi (Fribourg) (MNA) (Fribourg) | BIF Bureau information Femmes (Lausanne) | CSP (centre social protestant) – Genève | Service jeunesse et cohésion sociale (Yverdon les Bains) | Business and Professional Women Club Genève | Business and Professional Women Club Fribourg | Bureau Lausannois pour les Immigrés Lausanne | Service de la sécurité sociale, secteur intégration (Renens) | Bureau de l’intégration (Vevey) | Association AMIS (Aigle) | Association pour la Promotion des Droits Humains | ACES Association culturelle Egypto-Suisse | Defence for Children (impact days 2021) | Frauenstadtrundgang Zürich | Gosteli Stiftung Archiv zur Geschichte der schweizerischen Frauenbewegung | Männer.ch Schweizerisches Institut für Männer | Swonet Swiss Women Network | womenmatters Blogg Frauen und Karriere | Haus der Religionen – Dialog der Kulturen (Bern) | Die Feministen | Frauenzentrale Zürich | Human Rights Film Festival Zurich | Fem So – Feministischer Verein Kanton Solothurn | Frauenzentrale Aargau | Elisa-asile |

La dernière Reine – El Akhira

La dernière Reine – El Akhira

Spectaculaire drame en costumes d’Algérie

Algérie, 1516. Le pirate Aroudj Barbarossa, accompagné du roi Salim Toumi, chasse les occupants espagnols d’Alger. Mais la paix est de courte durée : selon les rumeurs, Barberousse a assassiné le roi et s’est autoproclamé souverain. Lorsque tous les membres de la cour royale fuient, seule la reine Zaphira s’oppose à lui. Entre histoire et légende, sa révolte raconte les turbulences personnelles et politiques qu’elle endure pour le bien d’Alger.

Ce spectacle cinématographique d’Algérie est le premier du genre et restitue le monde multilingue et diversifié du Maghreb sur des sites historiques. Raconté pour la première fois d’un point de vue féminin, THE LAST QUEEN – EL AKHIRA rompt avec les traditions et crée un espace pour une femme qui devient une héroïne dans l’adversité.

C’est une histoire que les Algériens n’ont jamais vue et dont ils ont besoin pour plonger dans leur histoire et leur culture. – Cineuropa

Le premier long métrage coréalisé par l’actrice et réalisatrice algérienne Adila Bendimerad et le réalisateur franco-algérien Damien Ounouri nous immerge, oscillant entre une vie de cour raffinée et des batailles sanglantes, une splendeur royale et des combats jusqu’au dernier sang.
jusqu’au dernier sang. – Cineuropa

Le coréalisateur et coscénariste Damien Ounouri a décrit le film comme un drame en costumes.
un drame en costumes, et il ne mentait pas. Mais c’est bien plus que cela. C’était comme un bon épisode de Game of Thrones. – Universal Cinema

The Last Queen (113 minutes) explore des chapitres sous-représentés de l’histoire et offre un large espace aux perspectives et aux voix expurgées. Il s’agit d’un film d’époque intime et magnifiquement filmé sur une figure héroïque féminine complexe. – High on Films

Invisible Frontliners

Invisible Frontliners

Il existe des métiers sans lesquels la société ne pourrait pas fonctionner. Qui sont ces soignants, ces personnes qui maintiennent la vie quotidienne, qui gardent les maisons propres, qui fournissent la nourriture et qui permettent au reste d’entre nous de vivre et de travailler confortablement même pendant une pandémie ?

En Suisse, il y a un manque fondamental de reconnaissance sociale pour ces personnes de première ligne. Auparavant, nombre d’entre eux étaient largement invisibles. La situation a changé. La société est aujourd’hui consciente de la valeur de leur travail. Mais qu’est-ce qui a vraiment changé ? Et comment ces travailleurs acharnés ressentent-ils l’attention qu’ils ont soudainement reçue ? Pourquoi restent-ils dans leur emploi et que changeraient-ils ?
Le film donne la parole à ceux qui restent habituellement silencieux et invisibles : une mère célibataire, une jeune infirmière, une directrice commerciale et mère de trois enfants, une assistante maternelle politiquement active et un immigrant portugais travaillant comme directeur de restaurant. D’une manière très fine et silencieuse, les dures réalités sont abordées et les grands sujets de ces pionniers deviennent proches et clairs.

Solothurner Filmtage

It Is Not Over Yet (Mitgefühl)

It Is Not Over Yet (Mitgefühl)

Dans la petite maison de retraite de Dagmarsminde, la fondatrice et infirmière May Bjerre Eiby ne s’intéresse ni aux diagnostics spécifiques de démence ni à la médecine, car aucun des deux n’améliore la qualité de vie des onze résidents. Au lieu de cela, May et son équipe ont mis au point un nouveau type de traitement, inspiré des méthodes introduites par Florence Nightingale il y a 150 ans. L’objectif est de stimuler un changement fondamental dans la prise en charge des personnes atteintes de démence au sein du système de santé – moins de médecine et plus de soins.

Je Suis Noires

Je Suis Noires

LE PRIX DU CINÉMA SUISSE

En Suisse, terre de neutralité, des voix inédites s’élèvent, celles de femmes qui se battent pour la reconnaissance du racisme structurel, déconstruisent les stéréotypes et revendiquent leur double identité suisse et noire. Dans ce contexte, Rachel M’Bon entame sa propre quête identitaire. En cheminant vers l’affranchissement, elle interroge son passé, son présent et tend un miroir à son pays et à ses pair.e.s.

La force et la détermination avec lesquelles Rachel M’Bon affronte son passé font la force de ce film, qui constitue un pas important vers l’ouverture d’un discours trop longtemps réprimé. En collaboration avec la réalisatrice Juliana Fanjul, la journaliste helvético-congolaise interroge son pays et dresse le portrait de six protagonistes. Chacune d’entre elles raconte une histoire qui reflète son parcours personnel vers la libération.

Nous présentons le film en combinaison avec le court métrage ETHEREALITY de Kantarama Gahigiri
Coincé dans l’espace pendant 30 ans. Quel effet cela fait-il de rentrer enfin chez soi ? Une réflexion sur la migration et le sentiment d’appartenance.

Kantarama Gahigiri est une réalisatrice rwando-suisse. En 2004, elle a remporté le prestigieux Fullbright Award et s’est installée à New York où elle a obtenu un master en cinéma. Son premier long métrage, TAPIS ROUGE, a été projeté et récompensé dans le monde entier.

Partenaire officiels de la promotion
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